L’alternance qui associe apprentissage théorique à l’école et apprentissage rencontre autant de succès chez les jeunes que pour les entreprises. C’est un véritable levier pour accéder durablement au marché du travail.
À compétences égales, le nom et l’origine peuvent obliger à envoyer 4 fois plus de CV pour décrocher un entretien. S’ajoutent à cela plusieurs critères d’embauche qui peuvent souvent s’avérer discriminants.
L’atteinte de plusieurs grands objectifs peut conduire une entreprise à se lancer dans la mise en œuvre d’une démarche QVT : développer l’attractivité, l’engagement, la motivation professionnelle, etc.
Le contrat de professionnalisation et le contrat d’apprentissage constituent les deux formes de l’alternance. Le premier relève de la formation continue alors que le second, plutôt dédié aux jeunes, concerne la formation initiale.
La matrice des compétences ou matrice de polyvalence est un outil managérial permettant d’établir une cartographie des compétences déjà disponibles dans un groupe et d’identifier celles qui sont à développer.
La négociation annuelle obligatoire – ou NAO – est inscrite dans le Code du travail. Il s’agit d’encadrer le dialogue social en formalisant des droits et des obligations pour chaque partie et aboutir à des accords.
L’engagement des collaborateurs est un enjeu stratégique puisqu’il a un impact direct sur la performance. Or, les dernières études placent la France en avant-dernière position du classement européen sur l’engagement.
Le tutorat peut s’organiser différemment pour épauler tout type de salarié : les nouveaux entrants comme ceux promus dans de nouvelles fonctions. Il est nécessaire de bien organiser ce dispositif au sein de l’entreprise.
Le rapport d’étonnement est un outil de management qui permet de collecter les observations des collaborateurs pendant leur intégration au sein de l’entreprise. C’est une source d’évaluation des procédures interne.